Doctorant en sciences de l’éducation
Formateur en sciences humaines et sociales pour des professionnel·le·s du travail social et de l’animation
Ingénieur pédagogique dans ces mêmes cadres
Co-gérant d’une coopérative de formateur·ice·s : nous cherchons à nous réapproprier notre travail et à en définir collectivement le sens et les limites. Nous militons également pour valoriser le métier de formateur·ice en tant que porteur de savoirs pédagogiques professionnels et techniques précis.
C’est à la jonction de ces identités professionnelles multiples que je fais recherche sur des thèmes comme :
- La notion de l’intime en pédagogie : en quoi la proximité, le partage de vécus, l’empathie avec ses publics, le refus de la neutralité peuvent être de véritables propositions pédagogiques pertinentes ? En quoi ces tentatives peuvent participer à retisser des liens sociaux participant à créer des communs ? Et en quoi tout cela peut participer à une (re)politisation de professionnel·le·s du travail social et/ou de l’animation ?
- L’impact d’une position de travailleur indépendant au sein d’une structure coopérative sur les pédagogies employées
- La vie de doctorant tiraillé dans une marginalité sécante université/milieux punks
- Une ethnographie permanente : l'(auto)ethnographie
Je conçois mon inscription en doctorat comme un engagement contraignant, une obligation à produire de la recherche. Je désire ici une institution socialisée et socialisante qui m’oblige à dépasser mes représentations, à lire, à discuter, à écrire. Activités qui passent souvent à la trappe dans des quotidiens surchargés.